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Sécurité

Un « plan de bataille » pour la sécurité des Aindinois

Les services de l’Etat dressent le bilan de l’année écoulée en termes de sécurité publique et routière dans l’Ain. En toile de fond, la mise en place du plan départemental de restauration de la sécurité du quotidien, voulu par Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur. 

Un « plan de bataille » pour la sécurité des Aindinois
La conférence de presse sur la sécurité organisée le 27 février par Chantal Mauchet, préfète de l’Ain, en présence de Karine Malara, procureure de la République de Bourg-en-Bresse, Philippe Ravoyard, commandant en second le groupement de gendarmerie départemental, du commandant Thierry Pillot, directeur départemental de la police nationale de l’Ain par intérim, Laurent Sierra, chef divisionnaire de l'Ain de la direction régionale des douanes d'Annecy, et Marianne Tessa, directrice de cabinet responsable départementale volet sécurité routière. ©PF

Ainsi que le rappelait ces derniers jours la préfète, Chantal Mauchet, même si « l’Ain demeure un département sûr, avec un niveau de délinquance inférieur à la moyenne nationale, les évolutions constatées en 2024 appellent néanmoins une intensification de nos efforts, en lien étroit avec la justice, pour endiguer le narcotrafic, lutter contre les cambriolages et prévenir les violences intrafamiliales. » C’est un « plan de bataille », dixit la préfète, « méthodique et pragmatique » qui est ainsi mis en place dans l’Ain, à l’instar des autres départements, pour répondre à l’injonction du ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui souhaite « des actions ciblées pour lutter plus efficacement contre cette délinquance qui empoisonne la vie des français. » En pratique, ce plan se décline en quatre objectifs majeurs : lutter en profondeur contre le narcotrafic, l’économie...

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