CLIMAT
Face à la raréfaction des pluies depuis le début de l’année et l’amorçage avorté de la recharge des nappes profondes, la préfète de l’Ain invoque de nouvelles restrictions sur le prélèvement d’eau en Dombes.
Face à la raréfaction des pluies depuis le début de l’année et l’amorçage avorté de la recharge des nappes profondes, la préfète de l’Ain invoque de nouvelles restrictions sur le prélèvement d’eau en Dombes.
Le forum « Climat en Bresse, des solutions pour s’adapter », organisé le 28 février au lycée agricole Les Sardières, visait à sensibiliser et informer un public composé en majorité de scolaires sur différents leviers pour faire face au changement climatique. Retour sur le volet gestion de la ressource en eau, explications à l’appui de Thomas Niogret, conseiller hydraulique à la Chambre d’agriculture.
Conjuguée à une hausse des températures et des sécheresses à répétition, la flambée des prix de l’électricité fragilise l’Association syndicale d’irrigation de l’Ain (Asia). La prochaine campagne d’irrigation s’annonce difficile. Décryptage.
Début janvier, plusieurs zones du département ont été reconnues au titre des calamités agricoles pour la sécheresse de l’été 2022. Retrouvez la démarche à suivre pour faire votre demande d’indemnisation.
Grandes cultures, maraîchage... Comment réagissent les cultures après la douceur hivernale de décembre ? Nous avons dressé le bilan à partir de retours de terrain.
Le syndicat des rivières Dombes Chalaronne Bords de Saône propose aux agriculteurs volontaires de contractualiser des Mesures agroenvironnementales et climatiques (MAEC) issues de la Pac 2023-2027.
Suite aux dégâts majeurs pour les productions fruitières et viticoles causés par le gel en 2021, le ministère en charge de l’agriculture a décidé la mise en place d’un mécanisme de soutien exceptionnel pour assurer la sauvegarde des entreprises situées à l’aval des productions sinistrées et dont la situation est rendue critique du fait de l’absence de récolte à conditionner ou à transformer.
Organisée par le syndicat d’Eau Potable Bresse Dombes Saône le 8 novembre dernier à Saint-André-de-Corcy, la soirée ciné-débat sur le thème « Agriculture et eau du robinet » aura eu le mérite de faciliter les échanges et de dépasser les clivages entre acteurs de l’eau, agriculteurs, citoyens et monde associatif.
Est-il réellement possible de faire cohabiter une production agricole significative et sans pertes avec une production photovoltaïque rentable ? Éléments de réponses avec l’Institut de l’élevage (Idele) dans le cadre d’un webinaire organisé par la Fédération nationale ovine (FNO).
L’agrivoltaïsme est un levier clé du mix électrique à horizon 2030, à condition de s’engager sur des projets vertueux, c’est-à-dire qui n’entrent pas en concurrence avec l’activité agricole. L’Ademe a récemment publié les résultats d’une étude à ce sujet.
Face aux sécheresse récurrentes et aux chaleurs intenses, installer des panneaux photovoltaïques sur ses parcelles agricoles prend une tournure intéressante, encouragée par la volonté du gouvernement de réduire les émissions carbone à l’horizon 2050. Mais face à la multiplication de projets, chambre d’agriculture et élus agricoles locaux s’interrogent sur la façon d’encadrer cette nouvelle activité sensée ne pas concurrencer ou supplanter la production agricole, mais bien la favoriser. Questions à Gaëtan Richard, élu et référent énergie et climat à la Chambre d’agriculture de l’Ain.
La FDSEA 01 et l’Asia (Association syndicale d’irrigation de l’Ain) étaient réunies jeudi 20 octobre à La Boisse pour établir un bilan énergétique, notamment pour les exploitants irrigants de l’Ain. Au programme : discussions autour de l’achat de l’électricité, explications des hausses des prix, et pistes pour aider les irrigants.
L'orage de grêle qui a frappé la Côtière le 3 septembre dernier a causé d'importants dégâts chez plusieurs agriculteurs de la zone, en particulier chez les deux maraîchers Yannick Raphanel et Fraisochamp. Dans un communiqué, la préfecture de l'Ain reconnaît l'état de catastrophe naturelle.
Grâce aux précipitations des mois de septembre et d’octobre, le secteur de la Dombes peine à retrouver un niveau correct d’eau. « Au niveau des eaux superficielles, la situation s’est améliorée même si les débits des cours d’eau sont encore bas pour la saison », précise un communiqué de la préfecture.
L’adaptation au changement climatique passe par des stratégies de territoire dans lesquelles sont parties prenantes les syndicats de rivière. Les collectivités s’engagent dans des politiques fortes en matière de maîtrise et gestion de l’eau. Point de situation de l’état des rivières dans l’Ain et actions phares en cours dans l’Ain.
Samedi 24 septembre, la grêle s'est de nouveau abbatue sur l'exploitation de Yannick Raphanel, maraîcher sur la Côtière. Bien que les dégâts sont moindres par rapport au premier orage, l'exploitant enregistre une perte conséquente sur les produits plantés après la première tempête.
Suite à la période de gel du 4 au 8 avril 2021, le département de l’Ain a été reconnu au titre des calamités agricoles pour les pertes de récoltes en viticulture, arboriculture et apiculture.
Deux des cinq bassins de gestion des eaux superficielles du département sont toujours placés en situation de crise malgré les pluies de septembre.
Vendredi 2 septembre, une tornade, suivie d’un orage de grêle, cause d’importants dégâts sur les communes de La Boisse et de Thil. Yannick Raphanel, Dominique Balouzet, les deux plus gros producteurs de légumes du secteur, essuient de lourdes pertes.
Chaîne d’étangs incontournable, la Dombes a été retenue dans le cadre d’un projet européen visant à savoir comment les étangs peuvent être utilisés comme bases naturelles pour lutter contre le changement climatique. Des chercheurs de l’Isara collectent des données sur le seul site français du projet.